… un commentaire me fait penser que c’est en grande partie pour cette raison que j’ai toujours préféré Hommage à la Catalogne de George Orwell (1938) ou même le formidable Pour qui sonne le glas de Hemingway (1940) à la version romancée et idéalisée de Malraux (1937). Encore qu’il y ait certainement beaucoup plus à dire : la mort dans l’anonymat, le hasard, l’attente, etc. Immense est la littérature qui en témoigne… quant aux autres récits, historiques ou personnels, je laisse cela aux gens beaucoup plus talentueux que moi pour en parler.
PS : Je ne saurai que trop conseiller la lecture régulière de www.warisboring.com
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